Ou comment une soirée peut se transformer en féérie.
Tout en haut, au 3eme étage, la tête au ras du plafond, les genoux touchant le fauteuil de devant, 30° et pas un souffle d'air, rien n'annonce que la soirée sera exceptionnelle.
Tout en bas, la scène, un piano à queue, un rond de lumière. Rien. Rien sauf l'artiste, son talent.
Surprise : il parle beaucoup, son humour est terrible.
Ses textes précis, très ciselés, nous font mal, ou nous font du bien. Ses mélodies sont douces, et quel pianiste ! On pleure, on rêve, on rit. On en redemande.
C'est promis, on reviendra voir William Sheller en concert.
04 octobre 2006
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